Connaissez-vous cette pathologie ?Un phénomène rare mais à ne pas manquer !

Heureusement peu fréquent, mais une urgence absolue du fait des conséquences irréversibles qu’il entraîne, le syndrome de la queue de cheval (SQC) reste une problématique difficile à repérer.

La question de référer ou pas aux urgences peut être délicate pour le thérapeute, et les dernières recherches sur le sujet montre à quel point il est essentiel de recueillir correctement les informations auprès des patients.

Laura Finucane, physiothérapeute membre émérite de l’association britannique représentative de l’IFOMPT, la MACP (Musculoskeletal Association of Chartered Physiotherapists) et Présidente de l’IFOMPT, a effectué beaucoup de travaux sur les pathologies sérieuses de la colonne, notamment le SQC.

Des patients ayant vécu ce syndrome et son diagnostic (trop)tardif ont été interviewés afin de mieux comprendre comment l’entretien avec le professionnel de santé aurait pu permettre de dépister plus tôt leur pathologie.

Cela souligne, si le fallait encore, l’importance d’une anamnèse bien menée et d’un langage adapté au patient.

Merci à Romain Guyader pour les sous-titre de la vidéo (pensez à les activer !)

De ce travail, il en a découlé un outil utile que vous pouvez utiliser avec un patient pour lequel vous craignez cette possibilité.

Vous retrouverez donc ci-dessous des cartes réalisées à destination des patients pour les informer sur les signes d’atteinte grave et évocateurs de cette pathologie.

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